C’est par une nuit d’été que Mère Lune s’était levée de bon pied, faisant bouger les marrées des nuit. Elle offrait à sa fille un endroit idyllique pour un pique-nique. Chargée d’un panier en osier, la petite cendrée marchait sur les rochers. La mer s’étant retiré, de petites algues s’étaient échouées un peu partout. La lunienne continua plus loin, connaissait les recoins parfait pour se poser. Ce fût, quelques temps plus tard, qu’elle atterrissait à une petite crique. Protégé entre deux brise, le sable blanc reflétait la lumière lunaire. Moody, alors, s’activa à se poser. Déployant une nappe encore plus blanche que le sable, sur lequel vint apparaître encas et vin sucré. D’un coup sec et habile, la lunienne tira un peu sur son corset, le desserrant avec un soupire de relâchement avant de se poser de tout long contre la nappe. Laissant la lumière de sa mère lécher son petit corps. Moody passa la soirée en tête à tête.
